Histoire de la belote et son évolution avec l'apparition des nouvelles technologies.
1983 : La belote en réseau local.
Alors étudiant au Canada et passionné de belote, Thierry d'Herbigny invente un logiciel de jeu sur un PC (à l'époque, c'est une quarantaine de kilos, pas de disque dur, et seulement des disquettes souples 5 pouces !) Il déploie son logiciel sur le réseau informatique de l'école Polytechnique de Montréal.
1987 : La belote en ligne.
Toujours à l’affût des nouvelles technologies, ce logiciel est en perpétuelle évolution. Dans les années 80, le web n'est pas encore né. Mais en France le réseau télématique se développe et atteint des millions d'utilisateurs avec le déploiement des terminaux Minitel. Thierry met naturellement en ligne son logiciel de jeu qu'il peut partager avec d'autres passionnés.
2007 : La belote sur mobile.
Thierry a été le premier à créer un jeu de belote accessible par smartphone, présenté en avant-première lors d'une conférence de presse pendant le Festival International de Bridge de Biarritz.
2011 : La belote et sa Playmate
Thierry présente sa "Playmate" au staff et journalistes du festival international de Bridge de Deauville, très impressionnés par cette nouveauté. Cette Playmate est la version moderne de la Bridgemate mais adapté aussi à d'autres jeux (Poker, Tarot, Belote ...) avec les technologies d'aujourd'hui : smartphone à la place du boîtier dédié et réseau Wi-Fi à la place des ondes radio analogiques.
2013 : La belote à l'ère du "big data"
Vous jouez avec des robots qui utilisent non seulement leur intelligence artificielle mais aussi des centaines de millions de décisions humaines prises antérieurement par de vrais joueurs. En matière de jeux de réflexion les robots ont leur limite et aucun n’est capable de remplacer la finesse d’une décision humaine, pour cette raison nous avons adapté un concept inverse : ce sont les robots qui sont assistés par les humains.
Quand le logiciel doit prendre une décision, il cherche dans une base de données une décision humaine qui ressemble le plus possible à la situation dans laquelle il se trouve. En effet, depuis une trentaine d’années nous avons cumulé une base de plusieurs centaines de millions de donnes. Ainsi un joueur fidèle pourrait voir un adversaire jouer une carte qu’il a lui-même joué plusieurs années auparavant. Jouer ainsi est le meilleur moyen d’évaluer sérieusement votre performance car en aucun cas vos adversaires robotisés ne peuvent s’échanger d’informations à votre insu.
Thierry d'Herbigny | NST |